
Comme il le dit si bien « la table des négociation est ouverte » et faisons vite car il y va naturellement de l’intérêt des producteurs laitiers mais de l’intérêt de toute une filière largement exportatrice qui représente des milliers d’emplois.

Comme il le dit si bien « la table des négociation est ouverte » et faisons vite car il y va naturellement de l’intérêt des producteurs laitiers mais de l’intérêt de toute une filière largement exportatrice qui représente des milliers d’emplois.
Faux débat ! Ce sont les agriculteurs eux même qui fixent les prix, par les quantités qu’ils mettent en marché ! Lorsque les prix ont fortement grimpé, ds les années 2005 à 2007, vite, ils se sont lancés dans des augmentations de capacité, provoquant la chute de ces prix ! Certes, les indistriels peuvent être contraints d’acheter plus chers, mais alors ils acheteront moins. L’ideal pour l’agriculteur, c’est de vendre toutes les quantités produites au prix le plus elevé possible ; à une époque, c’était le contribuable qui était sollicité … mais le contribuable est desormais exangue, il lui faut payer plus de retraités et plus de fonctionnaires …